« Invité » Invité
| Sujet: (M) HORAN ∞ if i let you know, i'm here. Mar 12 Fév - 8:20 | |
| pay prénom² wardle" frenchaddicted"
→ NOM : wardle. → PRENOMS : pay mais modifiable. c'est simplement le prénom utilisé dans ma fiche et dans le scéna. → AGE : le même âge que lux (puisqu'ils sont jumeaux), soit dix-neuf ans. → NE LE :treize janvier de l'année quatre-vingt-treize, à provincetown ici-même. → STATUT : au choix → METIER : au choix (on évite le glandeurs pro siouplé ) → ORIENTATION SEXUELLE:au choix.
▲ il est né cinq minutes avant Lux. ▲ il a mal supporté le décès de leur mère -cancer du sein- mais il l'a toujours caché (il avait 9 ans à cette période) ▲ il n'est ni en froid avec son père, ni en chaud. il ne le porte tout simplement pas dans son coeur car il ne s'occupe jamais de Lux et lui. ▲ l'année dernière, il est parti un an à Dublin (études au choix) tout comme Lux qui est partie en Espagne ; grâce à des bourses universitaires. ▲ il revient tout juste à Provincetown, un mois après le retour de sa soeur. Le reste est libre, seuls ces points sont primordiaux pour l'histoire globale Pour plus d'infos, ramène ta fesse droite et gauche sur ma fiche, WESH.
ft. niall(seksi)horan ▲ groupe au choix
|
|
pay et lux you'll never love yoursel half much as i love you - parties de ma fiche concernant le p'tit blond.:
+ (one year before) travelling. « On se revoit dans un an Luxxie, ça va vite passer ! » me lançait Pay avec son sourire, me prenant dans ses bras de sa réconfortante étreinte fraternelle. « Mouais, tu vas me manquer. » Si j’étais pessimiste ? Oui, tout le temps. « Mais non, dis pas n’importe quoi. Fais-moi un câlin au lieu de dire des conneries. » C’était le jour-J. Le jour où Pay et moi prenions un chemin différent. Ce qui était le plus étrange, c’est qu’en réalité, nous prenions l’avion tous les deux, seulement ce n’était pas le même. Lui partait pour Dublin, tandis que j’avais opté pour l’Espagne. C’était dur, dur de le quitter, dur de me dire que c’était la dernière fois que je le serrais contre moi pour les douze prochains mois à venir. Heureusement qu’avec les moyens modernes de communications que l’on possédait désormais, il serait facile de se voir, de se parler … Skype, facebook, je n’avais aucun doute. Seulement c’était différent ; il ne serait pas là lorsque j’aurai des coups de blues, il n’y aura personne le matin pour me faire des gros câlins, ou ni même personne pour m’embêter lorsque je suis d’humeur grincheuse… Mon Pay, il allait me manquer. Séparer deux jumeaux, c'était la pire chose à faire. Pourtant nous ne pouvions pas nous résoudre à rester ensemble pour l'éternité. Chacun de nous s'aimait, au delà même, mais un jour ou l'autre Pay s'en irait pour de bon. Je me disais cette fois-ci que ce n'était qu'un au revoir, que dans quelques mois on se retrouverait ici, à se serrer l'un contre l'autre. Pourtant avec Pay, rien n'avait très bien commencé. Jusqu'à nos neuf ans, nous nous détestions au plus haut des points. Je n'arrivais pas à le supporter, et lui ne me supportait pas non plus. Nous étions quittes au moins. Puis lorsque maman est décédée de sa maladie, il y a eu ce déclic. Comme celui que l'on peut avoir pour un garçon, eh bien moi je l'avais eu pour mon frère jumeau. A cet instant de ma vie, je me rendais compte qu'il était ce rayon de soleil dont tout le monde a besoin. Mon petit bonheur à moi.
« Pay ? Tu me manques.. Tu rentres quand ? … Non, je pleure pas, je suis juste pas bien … Arrêtes, tu sais que je te mentirais pas … Un mois ?! C’est long … Ah, tu dois y aller … Oui, je t’aime aussi. » Je raccrochais, laissant tomber mon téléphone portable sur mon lit. Mon frère rentrait dans un mois. Un long mois durant lequel j’allais encore devoir supporter les sauts d’humeur de mon père. Contrairement à avant, j’avais du répondant. Ce qui me valait toujours une sale claque au final, mais je me sentais plus forte. Comme si je le faisais pour maman, parce que je sais qu’elle aurait voulu que je garde la tête haute. Puis pour Pay. Je lui avais toujours caché que notre père levait parfois la main sur moi. Il ne touchait jamais Pay, peut-être parce qu’il en avait trop peur. Mon frère était ce genre de gars qu’il ne valait mieux pas mettre en colère, totalement incontrôlable. Il était des plus protecteurs envers moi depuis la mort de maman ; déjà qu'il haïssait notre père de tout son être, je ne voulais pas aggraver la situation. Evidemment, s'il apprenait ce que notre dit paternel m'affligeait, il était évident qu'il le tuerait sur place. Réellement, je ne savais pas mais j'étais certaine qu'il ne laisserait pas passer une telle nouvelle.
twins le premier mot auquel on pense lorsque l'on parle de Pay et Lux, c'est "jumeaux". En plus de se ressembler comme deux gouttes d'eau (vive les blonds aux yeux bleus ), ils s'entendent à merveille. Pourtant, si on remonte plus de dix ans en arrière, ce n'était pas la même situation. Chacun menait une dure vie à l'autre, sans compter le fait que c'était l'âge le plus gamin qu'il soit. Les bagarres se répétaient, Pay tirait les cheveux de sa soeur, Lux s'amusait à cacher ses affaires ... Mais après le décès de leur mère, tout a bien changé. Petit à petit, évidemment.
« Pay, maman te manque ? » Lux s’installait sur le lit de son frère, s’adossant contre le mur. Ce dernier se trouvait dans la même position, sa console entre les mains. Un instant, la blondinette cru qu’il n’allait pas répondre ; vous savez, histoire d’éviter le sujet, comme il le faisait tout le temps. « Pourquoi tu me demandes ça ? » Il se décidait enfin à remonter son regard sur le visage de sa sœur. « Tu m’en parles jamais. J’ai l’impression d’être la seule qui regrette le temps où elle était encore là… » Il fronçait les sourcils, de son petit air qui montrait une déplaisance certaine. « Dis pas ça Lux. Tu sais que maman me manque mais je suis pas toi. J’essaie de ne pas y penser, j’essaie d’avancer. Tu n’es pas toute seule, d’accord ? » Pay, c’était le genre de garçon à ne jamais montrer ses sentiments, ni même à exprimer ses ressentis. Peu démonstratif, mais les seules conversations que Lux avait avec lui la rassurait au plus haut point.
Le petit-déjeuner, le moment le plus sacrés pour les deux blonds. Lux traînait des pieds jusqu’à la cuisine où elle trouvait son frère attablé, mais encore endormi. « Réveille-toi crétin, tu dors. » Un petit bisous matinal sur la joue. Pay n’avait même pas été capable de sortir de quoi manger, c’est donc sa sœur qui se coltinait la tâche. Ce n’était qu’une question d’habitude vous dira-t-elle ! […] Lux, assez chieuse dans son genre, avait fini par trouver un nouveau jeu : lancer des céréales sur son frère. Au début, il ne disait rien, si ce n’est qu’il grommelait des injures. Jusqu’au moment où il avait fini par se réveiller d’un seul, comme un taureau à l’affut du moindre mouvement. « PAYYYYYY LÂCHE-MOI DE SUITE ! » Sur son épaule, la jeune fille tentait de se débattre mais vu la force de son jumeau, rien n’y faisait. Et ainsi ils passaient tous les deux leur samedi matin par une partie de chatouilles ainsi qu’une séance de dessins-animés. Quoi de mieux ?
Aujourd'hui, Pay ne s'imagine pas sans Lux. Et vice versa. Ni Pay sans Lux, ni Lux sans Pay. Voilà un an qu'ils ne se sont pas vus, en excluant les moyens de communications tels que skype ou le portable. Pay va rapidement débarqué en ville, retrouvant sa soeur adorée.
|
|
« Invité » Invité
| Sujet: Re: (M) HORAN ∞ if i let you know, i'm here. Mar 12 Fév - 8:20 | |
| uc poussin |
|