◮ Quel était votre rêve le plus fou lorsque vous étiez enfant?
Une nuit, j'ai fais un rêve. J'étais une princesse guerrière, je portais une belle robe rose et je combattais les méchants grâce à mon épée magique. Oubliez le beau prince, mesdemoiselles dans mon rêve j'étais seule et personne ne me résistait, je gagnais toutes les batailles. Je possédais des pouvoirs magiques de toutes sortes et j'avais un chat tout blanc d'un nom peu original: Snow. Après avoir fait ce rêve, chaque jour je suppliais dieu pour avoir des pouvoirs magiques et devenir cette princesse guerrière que je n'avais été que le temps d'une nuit. C'était mon rêve le plus fou.

◮ Quel est LE truc que vous faisiez enfant et que vous ne pouvez plus faire maintenant?
Porter des déguisements, je pense que ça craint si je me ramène en Pocahontas au bureau. D'ailleurs, je me rappelle à quel point j'étais pénible avec ça. Je courrais vers ma mère en m'agrippant à ses genoux pour lui demander si elle avait fini ma robe. En y repensant, ça me fait sourire. C'était de bons souvenirs. A chaque fois, elle faisait mes costumes elle-même que ce soit pour Halloween, mon anniversaire ou seulement pour me faire plaisir. Je crois que je ne pourrais jamais oublier le sentiment de joie qui m'envahissait quand elle me tendait ma tenue complète.

◮ Ça veut dire quoi être adulte exactement pour vous?
La vie d'un adulte est contraignante, fatigante et vraiment ennuyeuse mais on peut la rendre un peu plus magique et mon difficile à supporter quand on fait les choses que l'on veut et que l'on aime. Ma profession d'éditrice de livre pour enfant me satisfait pleinement à cet égard, je suis en contact avec des enfants, avec des contes pour enfants, l'atmosphère est détendue et mes collègues sont tous sympathiques. Disons donc qu'aussi peu intéressante soit elle, cette vie d'adulte, nous choisissons ce que nous en faisons et c'est à nous de la rendre mon pénible.

◮ Une petite anecdote, peut-être? & une phrase fétiche?
" Dreams come true. " c'est la phrase qui est tatouée sur mon poignet, c'est une belle leçon que j'ai retenu de tout les contes pour enfants que j'ai lu, si on le souhaite vraiment de tout son cœur on peut réaliser ses rêves. J'ai réalisé un des miens, celui de rester connecter pour toujours à mon enfance et c'est mon job qui me le permet chaque jour.

PSEUDO: Doa* AGE: 18 COMMENT AS TU CONNU LE FORUM : Une amie : ) QU'EN PENSES-TU ?: Très joli & visiblement populaire ! DEDICACES: dédicasse à tout mes poto ! Non je déconne ! Merci Ézéchiel qui m'a filé le lien du forum

Code:

<taken>teresa palmer</taken>[color=black] ∞[/color] mykaela-rose l. duncan

Il était une fois,
une enfant du nom de Mykaela-Rose. Elle vivait dans une belle maison située à provincetown, elle y habitait avec sa famille qui avait toujours été très attentive à ses besoins et désirs. Kaela, comme la surnommait ses parents passait ses journées à inventer des histoires, qu'elles soient sur des sorcières, des monstres, des princesses, qu'importe ! C'était une enfant pleine d'imagination et de créativité, elle trouvait toujours quelque chose de nouveau pour rendre ses jeux moins monotones. Vous vous en doutiez comme beaucoup de petites filles elle possédait une tour, sa chambre qu'elle avait nommée ainsi car elle répétait sans cesse que ça faisait plus princesse ce qui n'avait pas manqué de faire rire la reine de la maison appelée aussi reine maman (je vous l'avais dis qu'elle avait de l'imagination). Sans frère ni soeur pour jouer, la petite Kaela trouva dans les contes de fée ce besoin d'être utile, importante et arrivait à tuer l'ennui que l'on peut parfois ressentir quand on est enfant unique. Elle était un peu seule ? Quoi ? Vous avez dit seule ? Non ! Heureusement, la princesse avait son fidèle allié, le capitaine pirate Ézéchiel, le plus grand de tout les capitaines. " Dis Kaela, t'exagères, c'est pas un des livres que tu édites. " " Bah quoi ! Quand j'étais petite je te voyais vraiment comme un pirate ! Bon...D'accord, d'accord. Reprenons un récit normal." Ézéchiel est mon ami d'enfance, ensemble nous avons presque tout partager et à mes yeux l'image du pirate convenait parfaitement à mon meilleur ami. Il était courageux, espiègle et malin. Je suppose que j'avais du le forcer deux ou trois fois à jouer avec moi dans mon conte imaginaire. Ensuite, nous avons grandit et tout s'est brusquement arrêté du jour au lendemain. Je me souviens que c'était à l'époque du lycée quand pour la première fois, j'ai entendu : "T'es pas dans un livre pour enfant ! T'as quel âge au juste Mykaela ? " J'en ai pleuré, ce que je trouvais dans ces histoires, je ne pouvais le trouver nul part ailleurs et ça personne ne pouvait le comprendre alors j'ai essayé de vivre une vie normal, loin de celle que j'étais vraiment et évidemment ça m'a fait souffrir. Le calvaire a duré presque deux ans, je me suis forcé à grandir et le résultat était mauvais, j'étais devenue désagréable, sur les nerfs, pressée. Bref, une adulte. Il a fallu longtemps avant que je reprenne confiance en moi, c'est lors de ma dernière année au lycée alors que j'allais sur mes 18 ans, qu'Ézéchiel s'est installé chez moi et peut-être ne s'en souvient-il pas mais c'est lui qui m'a aidé a reprendre confiance bien qu'à l'époque c'est lui qui avait le plus de problème... J'ai repris ma vie en main, si extérieurement j'étais une adulte, intérieurement j'avais cette part d'enfance qui était si importante qu'il fallait que je la mette en avant c'est dans ce but que j'ai fais des études littéraires afin de devenir éditrice de livre pour enfants. L'idée m'est venue quand je rangeais de vieilles affaires dans mon grenier, alors que je tombais sur un vieux livre de conte comme on n'en fait plus. Je l'avais trouvé si soigné, méticuleusement relié, un couverture parfaite et la typographie plaisante. J'avais admiré ce livre pendant un heure telle une œuvre d'art, c'est à ce moment là que j'ai compris que mon chemin était tout tracé.

Parlons sentiments, je n'ai connu qu'une seule longue histoire, elle a duré 3 ans. Je pense que je l'aimais vraiment et qu'au début il m'aimait aussi mais visiblement nous n'étions pas fait pour vivre ensemble, il faut dire que vivre avec une femme enfant ce n'est pas facile surtout quand on ne l'accepte pas. Il n'aimait pas celle que j'étais alors comment ça aurait pu marcher ? Cependant la rupture fût difficile et douloureuse et cette fois, j'avais beau lire tout les contes de fée du monde, rien n'y faisait la douleur était toujours bien présente. Le temps a guéri maintenant et de nouveau célibataire je suis prête à revivre quelque chose de sérieux avec quelqu'un qui m'aimera pour celle que je suis vraiment.